Friday 25 January 2013

Er liebt mich. Er liebt mich nicht.

A flickering image. A waiting room. A light that turns on and off. Our existence within a thought. But how long is the memory going to last? How long till the image gets more and more pixelated and disturbed until the light stops working? Where will that part of our life go and how do we exist without it?


Er liebt mich. Er liebt mich nicht. from giada pesce on Vimeo.

« Mon corps, en fait, il est toujours ailleurs, il est lié à tous les ailleurs du monde, et à vrai dire il est ailleurs que dans le monde.Car c'est autour de lui que les choses sont disposées, c'est par rapport à lui - et par rapport à lui comme par rapport à un souverain - qu'il y a un dessus, un dessous, une droite, une gauche, un avant, un arrière, un proche, un lointain.Le corps est le point zéro du monde, là où les chemins et les espaces viennent se croiser, le corps n'est nulle part : il est au c'ur du monde ce petit noyau utopique à partir duquel je rêve, je parle, j'avance, j'imagine, je perçois les choses en leur place et je les nie aussi par le pouvoir indéfini des utopies que j'imagine.Mon corps est comme la cité du soleil, il n'a pas de lieu, mais c'est de lui que sortent et que rayonnent tous les lieux possibles, réels ou utopiques ». Michel Foucault, « Le corps utopique / Les hétérotopies », 1966, (Lignes).

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